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18 décembre 2017 1 18 /12 /décembre /2017 20:46

Une seule Nation.  Des Langues et des Pays ?

Parlons franc , parlons français

On peut , évidemment , parler Breton , Canaque ou Basque , sans en faire le prétexte à des règles ou coutumes prévalant sur les Lois de Notre République qui Nous régissent Tous.  Je parle de ces trois Langues , originales , véritables ,  et non apparentées aux vocables divers , issus , soit d'un Passé lointain , obsolète et confus , soit , c'est le cas fréquent , de Pays voisins du Nôtre. Bien sûr il est possible , c'est dans notre folklore , d'user des mots anciens et régionalisés qui font tous les patois dont la France est si riche , expressions maintenues pour la plaisanterie ou sketches savoureux , et de communiquer dans un langage plaisant , à l'échelle locale , par quelques dérivés de Langues étrangères voisines , plus ou moins modifiées , d'Allemagne , d'Italie ou d'Espagne. Dialectes d'habitudes très localisées qui ne peuvent prétendre à s'officialiser dans une forme écrite admise pour La France et l'Europe avec Elle.

Si les trois Langues vraies , dont je parlais  plus haut , étrangères à la nôtre , peuvent être enseignées , à titre culturel , à des minorités attachées au passé , à une Identité et à ses Traditions , on ne peut  en user pour l'Administration dont les obligations sont d'ordre général en s'adressant à Tous.  Et leur réalité , ne peut faire , malgré tout , qu'on les mette au niveau de l'Europe , dont on veut l'Unité autant que le succès , et qui disparaîtrait dans l'éparpillement , la multiplication , sans contrôles ni limites , de  modes d'expression du niveau de tribus quant à leur importance.

Encore moins concevable , Une Carte d'Europe morcelée selon les habitudes linguistiques de Provinces , Régions , Localités , aux contours incertains , qui Nous condamnerait à ne pas exister dans l'époque mondialiste et inter-dépendante où Nous sommes entrés.

Un vrai danger existe , pour l'U-E aujourd'hui , à vouloir accepter ces "émancipations" ajoutant aux problèmes que l'on connaît déjà pour "Nous faire une Europe" , digne de LA Culture qu'Elle a fait rayonner en tous points dans le Monde , "libérations" fictives , ne servant que l'égo de quelques trublions absents du "Sens Commun" exigé de Tout Européen , pour Son Bien , pour Son Mieux et Sa Sécurité.

            michel-la-six 

 

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19 août 2014 2 19 /08 /août /2014 14:40

 

                     tetepage                                                       

 

 

      La plage et les baigneurs, le voile noir, le mari, contraste saisissant, éclatant de lumière et de vérité au soleil des vacances faites de libertés sans autres obligations que devoir s'obliger, pour soi-même et les autres, à l'auto-discipline d'un comportement discret nécessaire en ce lieu de promiscuité, milieu dont l'agrément est fait d'anonymat qui efface les castes pour le plaisir de tous, les petits et les grands, les maigres et les gros et les jeunes et les vieux, au gré de la nature qui modèle nos corps, objets de nos baignades.

     Un pavé dans la mare ? Un cheveu sur la soupe ? Hasard mal-et-contre-eux d'ingénue maladresse ?

     Se connaître de la fougue naturelle de madame La Ministre relève de Lapalisse tant par l'élan qu'elle donne au sentiment d'offense qu'elle a de prime abord, qu'à son goût pour le bruit qui fait tenir la scène au top cent politique où la cause défendue a  une raison cachée mais touche beaucoup de monde.

     Mauvais cheval pourtant, cette attaque sur la forme d'une provocation qu'on ne peut proclamer au risque d'encourir un juste désaveu de tous ceux qui, en toute bonne foi, se sentent provoqués par ces gestes voulus qui n'ont rien d'anodin quoique toujours mêlés au faits du quotidien pour nous accoutumer à des mœurs exotiques nullement dédiées au maintien  de jolies traditions mais plus concrètement à fonder un pouvoir, au religieux d'abord pour acception divine, perte du jugement pour guise philosophique, enfin au politique pour, en dominant tout, imposer son dictat sur une Humanité retournée au troupeau.

     Quels que soient les motifs de madame Morano, les faits nous sont sensibles mais la forme n'est rien, ni défis ni menaces, c'est le fond qui importe et doit nous décider, en haut lieu comme en bas, croyants ou non, écrivassiers, parleurs,  même ceux qui n'osent pas, qu'on ne consulte pas ou qui n'ont pas appris, ne serait-ce qu'à comprendre, à poser la question du choix qu'il faudra faire, trier le vrai du faux pour dénoncer en clair cette fumisterie du monde religieux, toutes formes confondues,  imposant à ses prisonniers des dogmes imbéciles, nuisances dont ils savent tirer force et profit.

     Pour aller dans le sens de ce qui fait scandale sans nous départager, je renvoie à l'article que j'avais fait paraître, relatant, pour le coup, un fait injustifiable de la part de préposés, j'espère encore, au respect de La Loi, quoiqu'ici il s'agisse des faux policiers de la Mairie de Villeurbanne, corps de milice dont j'ignore les attributions exactes.

          Article rappelé : "Villeurbanne, enclave saoudite".

                                                             Villeurbanne, c'est où, dites ?  

                                                                          michel-la-six

 

 

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23 mai 2014 5 23 /05 /mai /2014 17:42

    On entend, à propos des élections européennes, bien des çons de cloches, toujours très élitaires, aussi discordants que contradictoires mais dont aucune musique bien tempérée ne  ré  raisonnera dans les couloirs de la réussite du Parlement Européen.

     Je suis à gauche, même très gauche, répandant mes slogans par cris, dans l'invective toujours pour heurter par plaisir, celui de voir la crainte couper court au dialogue susceptible pourtant de faire gagner l'idée, mais il faut provoquer pour avoir l'air nouveau. Français est dépassé, l'Europe est très mauvaise. L'Étranger seul de tous a mon assentiment.

     Devenant Socialo, me voilà forcément, voie présidente oblige, à l'insu du plein gré, plus qu'un peu libéral, embaumé de sagesse pour notre économie, jusqu'à la gravité d'un jugement très sûr pour mes croyances d'hier, mon inertie présente, ma myopie pour demain avec la seule image de ma ré-élection.

     Au centre il n'y a rien. Pressions de tous cotés, du dessous, du dessus, de la droite et la gauche font un maelström incertain, mouvant au fil du temps, fait d'allers et retours en démarche hésitante qui empêche l'adhésion magré surabondance des meilleures intentions. Impossible pour moi d'être à ce point pluriel.

     Serai-je donc à droite ? MOI et Sarko, d'accord pour tout changer, on ne verra plus ça, la banque libérée du grand capitalisme, l'Entreprise associant l'intérêt producteur au bien consommateur, on va enfin pouvoir voir ce que vous allez voir !

Ah mais ! Mais le mais est plus grand qu'en printemps joli Mai, même en son jour premier, il me faut déchanter. Les vraies notes à payer dépassent largement les notes entonnées.

     Comme un dernier recours, comme aux années-40, quand le Français disait << être Allemand ou bien autre n'a que peu d'importance>>, il me faut essayer, après trop de mensonges, ce qui jusqu'à hier était jugé obscène, en dehors de l'arène des jeux admis à faire notre bonheur à tous y compris nos Césars. Rien n'est sûr autre que le passé, pour demain essayons c'est notre dernière arme avant révolution en autre République.

     Soyons nationalistes pour notre identité. Soyons Européens par intérêt d'abord, vraiment, dans le long terme, et l'intérêt des Autres, Européens aussi et tout autant que nous. C'est un juste équilibre qu'il faudra rechercher plus qu'idéologies si on veut le progrès. Je connais depuis peu l'heureuse initiative née en Land de Sarre et que sa Présidente, madame Anngret Kramp-Karrenbauer souhaite mettre en œuvre, projet pour un français appris dans les écoles et même plus, étendu à tout indicateur du domaine public avec la langue allemande pour bien concrétiser même dans le quotidien un bilinguisme usuel révélateur d'espoir Européen par volonté commune. Voilà un bon départ.

                            Michel-la-six. 

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19 avril 2014 6 19 /04 /avril /2014 18:10

      La drôle (?) de cuisine, manquée, de moules si haut-placées, a de quoi surprendre le Martien qui débarquerait dans le con-cert de nos média, nos orienteurs sur ordres comme il convient à tous nos affidés élus, PS ou UMP, rassemblés sur le thème : <<Vladimir est un sagouin prônant l'illégalité du renversement d'un Élu intègre  (pas possible en France, les yeux-dans-les-yeux) et ne voulant pas reconnaître la légalité bien légitime de l'équipe nébuleuse dont l'Oncle Sam s'occupe à Kiev depuis le tout début de la révolution orange, pour ne pas dire bananière>>.

     Ici, dans RICANONS, avec Pangloss, Haroun, et d'autres Ricaneurs, j'avais par mes articles, commentaires et réponses, prévu, craint et même envisagé l'impasse où nous sommes aujourd'hui. Nous n'y reviendront pas mais il est encore temps, pour éviter la casse, grave, de faire des souhaits satisfaisant chacunes des parties engagées, seule solution possible.

     Je ne vois, pour ce faire, qu'une porte de sortie : la CONFÉDÉRATION UKRAINIENNE.

     De tous les points de vue :

  1/: Les Ukrainiens d'abord.

       De tous temps dispersés, partagés et souvent opposés jusqu'au dernier conflit entre Allemagne nazie et Russie bolchevique, ils aspirent, tous, au fond, à une vie meilleure dans un calme durable assuré par le poids d'accords et de statuts dans les règles mondiales. Question référendaire qu'il faudra leur poser : Voulez-vous Une Confédération Ukrainienne ?

   2/: Nous, La France.

       Notre choix, limité, consiste à respecter, d'une part nos Alliés Américains, pas toujours amicaux mais souvent nos sauveurs, d'autre part nos Voisins Russes, largement dominants sur notre continent, dont le dernier passage dans les rues de Paris remonte à la naissance d'un mot nouveau : bistrot. Forcés à l'équilibre entre alliance Américaine, serrée mais lointaine, et convivialité dans la proximité du voisin Russe, nous devons faire plaisir aux deux, et donc privilégier, par le référendum, la partition en États souverains liés en Confédération. Les Américains avanceront l"OTAN et les Russes conserveront un glacis protecteur.

     On peut se rappeler que c'est l'Amérique, avec appui de LU-E, qui est à la source du problème, la Russie n'ayant rien demandé avant la "Révolution Orange". Et depuis, les appétits s'aiguisent. Espérons.

              michel-la-six.  

 

 

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1 mars 2014 6 01 /03 /mars /2014 15:46

La récolte des "Oranges" ne s'est pas fait attendre. Ricanons l'avait déjà prédit, au moins dans deux articles, "La chronique du weekend(84)" et "Ukraine...de violence". C'est lancé, ça galope et, déstabilisée, l'Ukraine redevient, pour les trois "grands" du moins, Russie, Amérique et Europe, la nouvelle Syrie. Comme quoi leçon d'Histoire ne sert pas à grand'chose. Là le danger pour nous, tous les Européens, est un retour de flamme d'époques dépassées qu'on croyait révolues. Les Ukrainiens, leurs cœurs, leurs goûts, leurs Langues, sont d'abord Polonais, ou Russes, même Ukrainiens. Leur Langue existe-t-elle, tant Elle est mélangée. Très peu souhaitent l'Europe, si Elle y met le prix mais celui des deux autres reste bien supérieur. La Russie pacifique, comme celle d'avant, a besoin d'un glacis de protection passive à sa périphérie, l'OTAN cherche toujours à resserrer le siège qu'elle a mis de longtemps à cette forteresse et nous sommes l'enjeu, nous, les Européens, trop faibles pour contrer cette rivalité, otages de ce jeu  incessant depuis la guerre mondiale. Pour le bon équilibre, éviter le conflit et tirer notre épingle, vu que les "Ukrainiens", actuellement unis par tous sauf par Eux-mêmes seraient bien mieux lotis chacun avec son camp, occidental ou russe  c'est un référendum qu'on devrait promouvoir sur cette question là, occasion formidable de reprendre, à long terme ce rang de si longtemps perdu, la maîtrise du sol sur notre continent en tendant notre main et à l'Allié de l'Est et à Celui de l'Ouest, chacun trouvant son compte par la stabilité. Oublions la bande de dons (je fais des fautes de frappe) qui a tout déclenché et espérons, pour tous.

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24 février 2014 1 24 /02 /février /2014 00:00

    L'Ukraine est sur la balance et, tout bien pesé, c'est un déséquilibre qui dure  depuis longtemps toujours. Turque ou Hongroise, ou Polonaise, ou Russe, cette population n'a jamais pu encore vraiment former nation. Les années hitleriennes avaient d'ailleurs bien mis en évidence un partage radical entre bolchevisme et nazisme dont les kapos emplissent encore la mémoire des camps

    Que la révolution soit orange ou non, on aimerait bien voir, dans les média dits "libres et indé et pendants", après comme avant, au moins les deux couleurs de ce conflit qui dure et durera encore, tant le non-dit est roi, cachant trop de motifs loin de ceux affichés.

     C'est d'abord l'Amérique, OTANament muette, poussant de tout son poids, son pesant de dollars, pour faire croire que l'Europe se doit d'intervenir pour combler ce besoin qu'un appel unanime devrait nous révéler.

     Nos directeurs, d'ailleurs, s'engouffrant dans la voie, voudraient, renouvelant ici, mais sans référendum, la manœuvre connue autour des 2005, consistant à nous faire avaler pour nouvelle couleuvre une Constitution découpée sur mesure, proclamant haut et fort indignation, morale et même la justice (voir plus haut le fléau, deux sens, deux poids et deux mesures), dans l'honneur, je vous dis, enfin nous révéler qu'ils sont bien existants, une force qui compte, tant est unie l'Europe, ovale comme le ballon, dégonflé après match, espoir perdu bien sûr, les égos oubliant de passer à leurs ailes, plus proches de l'en-but, aussi le coq gaulois, prompt à se faire entendre de promesses outrées fondant avec la neige en revers...de médailles.

     On peut rire de beaucoup mais il ne faudrait pas qu'en chatouillant par trop l'Ours aux griffes apaisées, pas fait de cinéma, qui malgré ses défauts a fait beaucoup d'efforts, on vienne à retrouver un équilibre froid qui nous réunirait, à nouveau, dans l'insécurité.

     Pourtant on avait là matière à progresser, à faire en Ho(Fe)mmes d'ÉTAT. Pour l'heure entre Occident et l'Est, fond et fonds restent entiers sur la voie entamée, rien n'étant résolu, nous sommes en danger. Comme l'Autre, étonné que l'on pût être Turc, on trouve bien enfantin l'attachement des Russes, qu'ils soient Tsars, Soviets ou Néo-Libéraux, à vouloir s'entourer d'un glacis protecteur, parce que l'OTAN, lui, ne cherche pas du tout à avoir des bases partout, loin de toutes les Russies, éventuellement plus près.

     Rien qu'à voir notre (propre) Cinquième (R-F), où une seule voix fait la majorité, permettant dictature par quelque roitelet jouissant sa mandature, on peut appréhender de peuples ignorant tout de la laïcité, de la démocratie, qu'ils aient difficulté à trouver leur chemin.

     Ce printemps aurait pu, au contentement de tous, mettre la primauté à un référedum pour définir les camps, établir leurs frontières, en gros le méridien passant par Maïdan, à chacun son Ukraine.

     On y viendra peut-être, sinon troubles à venir. Espérons malgré tout contre mon pessimisme et pour un beau printemps, qui ne soit pas arabe. 

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24 février 2014 1 24 /02 /février /2014 00:00

    L'Ukraine est sur la balance et, tout bien pesé, c'est un déséquilibre qui dure  depuis longtemps toujours. Turque ou Hongroise, ou Polonaise, ou Russe, cette population n'a jamais pu encore vraiment former nation. Les années hitleriennes avaient d'ailleurs bien mis en évidence un partage radical entre bolchevisme et nazisme dont les kapos emplissent encore la mémoire des camps

    Que la révolution soit orange ou non, on aimerait bien voir, dans les média dits "libres et indé et pendants", après comme avant, au moins les deux couleurs de ce conflit qui dure et durera encore, tant le non-dit est roi, cachant trop de motifs loin de ceux affichés.

     C'est d'abord l'Amérique, OTANament muette, poussant de tout son poids, son pesant de dollars, pour faire croire que l'Europe se doit d'intervenir pour combler ce besoin qu'un appel unanime devrait nous révéler.

     Nos directeurs, d'ailleurs, s'engouffrant dans la voie, voudraient, renouvelant ici, mais sans référendum, la manœuvre connue autour des 2005, consistant à nous faire avaler pour nouvelle couleuvre une Constitution découpée sur mesure, proclamant haut et fort indignation, morale et même la justice (voir plus haut le fléau, deux sens, deux poids et deux mesures), dans l'honneur, je vous dis, enfin nous révéler qu'ils sont bien existants, une force qui compte, tant est unie l'Europe, ovale comme le ballon, dégonflé après match, espoir perdu bien sûr, les égos oubliant de passer à leurs ailes, plus proches de l'en-but, aussi le coq gaulois, prompt à se faire entendre de promesses outrées fondant avec la neige en revers...de médailles.

     On peut rire de beaucoup mais il ne faudrait pas qu'en chatouillant par trop l'Ours aux griffes apaisées, pas fait de cinéma, qui malgré ses défauts a fait beaucoup d'efforts, on vienne à retrouver un équilibre froid qui nous réunirait, à nouveau, dans l'insécurité.

     Pourtant on avait là matière à progresser, à faire en Ho(Fe)mmes d'ÉTAT. Pour l'heure entre Occident et l'Est, fond et fonds restent entiers sur la voie entamée, rien n'étant résolu, nous sommes en danger. Comme l'Autre, étonné que l'on pût être Turc, on trouve bien enfantin l'attachement des Russes, qu'ils soient Tsars, Soviets ou Néo-Libéraux, à vouloir s'entourer d'un glacis protecteur, parce que l'OTAN, lui, ne cherche pas du tout à avoir des bases partout, loin de toutes les Russies, éventuellement plus près.

     Rien qu'à voir notre (propre) Cinquième (R-F), où une seule voix fait la majorité, permettant dictature par quelque roitelet jouissant sa mandature, on peut appréhender de peuples ignorant tout de la laïcité, de la démocratie, qu'ils aient difficulté à trouver leur chemin.

     Ce printemps aurait pu, au contentement de tous, mettre la primauté à un référedum pour définir les camps, établir leurs frontières, en gros le méridien passant par Maïdan, à chacun son Ukraine.

     On y viendra peut-être, sinon troubles à venir. Espérons malgré tout contre mon pessimisme et pour un beau printemps, qui ne soit pas arabe. 

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24 février 2014 1 24 /02 /février /2014 00:00

    L'Ukraine est sur la balance et, tout bien pesé, c'est un déséquilibre qui dure  depuis longtemps toujours. Turque ou Hongroise, ou Polonaise, ou Russe, cette population n'a jamais pu encore vraiment former nation. Les années hitleriennes avaient d'ailleurs bien mis en évidence un partage radical entre bolchevisme et nazisme dont les kapos emplissent encore la mémoire des camps

    Que la révolution soit orange ou non, on aimerait bien voir, dans les média dits "libres et indé et pendants", après comme avant, au moins les deux couleurs de ce conflit qui dure et durera encore, tant le non-dit est roi, cachant trop de motifs loin de ceux affichés.

     C'est d'abord l'Amérique, OTANament muette, poussant de tout son poids, son pesant de dollars, pour faire croire que l'Europe se doit d'intervenir pour combler ce besoin qu'un appel unanime devrait nous révéler.

     Nos directeurs, d'ailleurs, s'engouffrant dans la voie, voudraient, renouvelant ici, mais sans référendum, la manœuvre connue autour des 2005, consistant à nous faire avaler pour nouvelle couleuvre une Constitution découpée sur mesure, proclamant haut et fort indignation, morale et même la justice (voir plus haut le fléau, deux sens, deux poids et deux mesures), dans l'honneur, je vous dis, enfin nous révéler qu'ils sont bien existants, une force qui compte, tant est unie l'Europe, ovale comme le ballon, dégonflé après match, espoir perdu bien sûr, les égos oubliant de passer à leurs ailes, plus proches de l'en-but, aussi le coq gaulois, prompt à se faire entendre de promesses outrées fondant avec la neige en revers...de médailles.

     On peut rire de beaucoup mais il ne faudrait pas qu'en chatouillant par trop l'Ours aux griffes apaisées, pas fait de cinéma, qui malgré ses défauts a fait beaucoup d'efforts, on vienne à retrouver un équilibre froid qui nous réunirait, à nouveau, dans l'insécurité.

     Pourtant on avait là matière à progresser, à faire en Ho(Fe)mmes d'ÉTAT. Pour l'heure entre Occident et l'Est, fond et fonds restent entiers sur la voie entamée, rien n'étant résolu, nous sommes en danger. Comme l'Autre, étonné que l'on pût être Turc, on trouve bien enfantin l'attachement des Russes, qu'ils soient Tsars, Soviets ou Néo-Libéraux, à vouloir s'entourer d'un glacis protecteur, parce que l'OTAN, lui, ne cherche pas du tout à avoir des bases partout, loin de toutes les Russies, éventuellement plus près.

     Rien qu'à voir notre (propre) Cinquième (R-F), où une seule voix fait la majorité, permettant dictature par quelque roitelet jouissant sa mandature, on peut appréhender de peuples ignorant tout de la laïcité, de la démocratie, qu'ils aient difficulté à trouver leur chemin.

     Ce printemps aurait pu, au contentement de tous, mettre la primauté à un référedum pour définir les camps, établir leurs frontières, en gros le méridien passant par Maïdan, à chacun son Ukraine.

     On y viendra peut-être, sinon troubles à venir. Espérons malgré tout contre mon pessimisme et pour un beau printemps, qui ne soit pas arabe. 

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19 janvier 2014 7 19 /01 /janvier /2014 18:29

Tombé, par hasard, sur cet article du 17/01/14, véritable amas d'inepties avancées sous la question  «Va-t-on interdire aux musulmans de parler arabe ?»  de ce monsieur Zekri, "PRÉSIDENT de l'Observatoire de l'Islamophobie" (?), j'ai tenu à exprimer un point de vue que je pense assez commun et de simple bon sens.

On peut tout mélanger, mais alors les arguments avancés perdent beaucoup de leur poids. L'islam est une religion, nom attribué aux sectes mythiques qui ont bien réussi, soumise, comme n'importe laquelle, aux lois de La République qui les contraint à rester dans le domaine privé, hors des structures de la vie publique où elles ne doivent ni apparaître ni jouer aucun rôle. Quant à la Langue Arabe, il s'agit là d'une langue étrangère qui ne peut avoir en aucune façon cours chez nous, Français, hors bien sûr intimité, tourisme, culture et ... rigolade, mais sans faire de 'ramdam', sinon c'est le 'souk', argot de mon enfance, qu'on ne peut m'interdire.

Tout ceci sans parler d'autres langues usitées dans le monde islamique.   

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19 janvier 2014 7 19 /01 /janvier /2014 16:23

Je "tombe" par hasard (facebook) sur un article d'un Mr Zekri, du 17/01/14, intitulé "Va-t-on interdire aux musulmans de parler arabe ?", article en réaction à une affaire récente de "renvoi", pour ce fait, d'un salarié d'aéroport, je crois. Cette prose émanant d'un personnage présenté comme le PRÉSIDENT d'un observatoire d'anti-je-ne-sais-quoi a tant de quoi surprendre qu'on aurait eu peine à l'imaginer.

Mais l'article existe et, sans être "humoriste", chacun peut et devrait, sur l'objet s'exprimer. Voici ma part du jeu, en forme de réponse, ici spécial O-B.

On peut tout mélanger,mais alors les arguments avancés perdent beaucoup de leur poids. L'islam est une religion, nom attribué aux sectes mythiques qui ont bien réussi, soumise, comme n'importe laquelle, aux lois de la République qui les contraint à rester dans le domaine privé, hors des structures de la vie publique où elles ne doivent ni apparaître ni jouer aucun rôle. Quant à la Langue Arabe, il s'agit là d'une langue étrangère qui ne peut avoir, en aucune façon, cours chez nous, Français, hors bien sûr, intimité, tourisme, culture et ... rigolade, mais sans faire de ramdam, sinon c'est le souk !

Comme il est par le Monde beaucoup de musulmans ne parlant pas l'arabe, je m'y suis (re)mis, un peu, à mon argot d'enfance.

Voilà pour mon humeur (du jour), et j'espère les vôtres. Merci.

    t

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