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18 février 2013 1 18 /02 /février /2013 15:02

    Sois Frais : Vouloir se rafraîchir pour se renouveler, raviver ses idées, nécessité pour tous, autant nous, de la masse, que ceux qui nous dirigent, pour sortir du carcan qui nous immobilise et laisse tout aller aux caprices du temps. Tout d'abord ne plus croire. Ne plus croire bêtement aux "zélites" instituées, désignées et pérennes, affirmées, reconnues à longueur de discours de par tous les médias. On n'est pas, ni ne naît, élite permanente tout au long de la vie, même du plus méritant, qu'on le soit par un fait, une mode, réussite sociale, hasard d'actualité qui place l'inconnu sous les feux de la rampe. On le voit encore mieux des milieux politiques, carriéristes acharnés, tels ces gens, ces Jean-François Copé et ces François Fillon, filons de journaleux, se révélant vraiment plus que très mal lotis pour leur sens du respect qu'ils se doivent des mandats qu'on leur avait donnés, qu'on pourrait leur donner, mais qu'ils ne semblent pas capables d'assumer. S'émanciper des dogmes, religions de partis imposant pour seuls choix  un capitalisme libéral sans limites, droite et gauche confondues de minuscules nuances dans le très convenant libéral-socialisme, prêt à tout continuer, ou l'autre religion, la période en est pleine, religion verte ici qui veut limiter l'Homme dans toutes ses actions, réduisant son progrès au maintien d'une nature rêvée, fausse image créée d'un passé idéal dans le cadre duquel il faudrait tout figer. Avec des Sarkozy, des Hollandes et bien d'autres, plus ou moins impliqués, les résultats sont là, que nul ne peut nier. Tuée des jeux d'argent la Société n'est plus. Pour la secte écolo qui n'a pas gouverné, tous les mots sont permis puisque les maux qu'ils portent ne sont que des promesses trop entachées d'erreur pour sembler responsables. Joly fut belle preuve, puis tout au fil Duflot et bien Placé, Mamère, le pis est à venir de l'annonce qu'ils nous font, nous les marris d'avoir à pleurer ou à rire des sauveurs de planète, de tous ces verts de Terre qui repeignent pour nous tout l'environnement aux couleurs d'un autre âge et de l'inquisition.

    Sois franc. Comment le demander, réclamer d'un Ministre ou d'une Mini-stresse, d'un Premier Ménestrel qui connaît la musique, enfin d'un Président, qui culmine et dit tout pour ne pas retomber, exiger qu'ils le soient, poissons sachant nager, même en eau pas très claire, évitant les remous, nageant entre deux eaux dans le bocal étroit d'un régime fait par d'autres et dans une autre époque, mais le seul qu'ils connaissent, celui qui les a faits, les a privilégiés, et dont ils n'imaginent aucun bouleversement sortant de l'ordinaire d'un décor établi pour la continuité n'offrant au changement que des dangers trop grands à celui qui s'y risque et qui préfèrera, pour montrer qu'il agit, lancer  des réformettes contentant quelques groupes ne formant pas parti, que l'on pourrait rallier dans la facilité. Avec quelques grands mots on fait de bons prétextes. Pour faire égalité, on donne le Mariage à des gens de même sexe avec les "accessoires" liés à la descendance et bientôt est prévu d'ouvrir aux étrangers, extra-européens, le droit d'aller voter pour la raison qu'ils payent  les charges ordinaires afférentes aux services qu'ils peuvent utiliser par leur simple présence. Pour les uns, le mot même de Mariage, si ma langue est française, est en dehors du cas qui, sans péjoration, fait partie aujourd'hui de notre Société, sans valeur inégale, tels qu'ils sont hommes et femmes, différant par nature et le rôle qu'elle leur donne, chacun ayant le choix, en toute liberté, ou de s'y conformer, ou de s'en affranchir pour fonder autre chose. L'absolu ne se peut même en égalité qui veut que tout Français est égal à un autre, mais il est depuis peu bien des compatriotes, qui, venus de Sociétés fort éloignées des nôtres, communes à l'Occident, pourraient sur ce plan là, revendiquer le droit à la polygamie, à la polyandrie, justifiant de leur droit à leurs propres coutumes, vus que pour la plupart ils sont ressortissants de quelqu'ailleurs, et, France, en légitimité pour disposer des lois de chacun des Pays dont ils sont justiciables. Pour les autres et le vote, la solution est simple, devenir des Français.

    Sois Français. Le voussoiement n'est plus, même aux plus hauts niveaux, la forme de l'échange la plus utilisée hors de l'intimité, on l'a vu récemment au mode impératif d'un "casse toi, pauvre c..." du fait d'un Président ne faisant pas semblant d'oublier qu'il l'était, ou qu'il aurait dû l'être, peut-être sous le poids d'un moment de fatigue sans doute résultant d'horaires trop matinaux, de cadences élevées, harcèlement moral ou souci de loyer, j'avoue en oublier. C'est pourquoi me voici, sous forme d'apostrophe, m'adressant à Celui, supposé au présent nous représenter tous, lui envoyant ce vœu, en notre nom commun à tous les gens qui pensent, quel que soit leur parti ou leurs affinités, qu'ils sont La Société voulue bien avant nous, qu'il nous faut maintenir, par respect de Nous-mêmes et de tous nos Anciens, cet héritage transmis. Le chapeau que je porte, le nez que j'ai moins long, la couleur de ma peau, ne m'identifient pas en tant que citoyen pas plus qu'au fait d'avoir pour me représenter un Monsieur Président dont partout il existe tant de déclinaisons. Citoyen et Français, c'est presque un pléonasme tant les mots sont liés, au moins pour l'ordinaire, le commun, le vulgaire, celui qui ne doit rien à la démagogie ni à l'envie d'avoir sa page dans l'Histoire, même divertissante. Là, plus question de rire, on veut faire voter pour les municipales, il s'agit d'un début (sans précédent !) sans suite à ce qu'on nous en dit, parmi les étrangers passant sur notre sol, ceux qui n'ont pas tué, si la preuve se peut, et s'acquittent des charges que leur présence entraîne, et TVA comprise. L'argument qu'on répand est surtout celui-ci, j'ose croire que les autres, s'il en est, ne vont pas jusqu'à autoriser droit à d'autres scrutins en fonction du montant de leur contribution ou des fluctuations de notre belle monnaie. Avant que soit fondue en unique Nation toute l'Humanité, beaucoup d'évolutions et de révolutions auront dû être faites et pour longtemps encore, Le Français, Citoyen, se différenciera de nombre d'occupants d'un Monde très divers. Comme on l'a vu plus haut, rien de particulier ne peut différencier ce qui rend Citoyen parmi les occupants du sol dans l'Hexagone, ni respect de la Loi, ni convivialité, c'est dans le libre choix exprimé par le vote que nous avons pouvoir de faire Notre Nation telle qu'Elle est Constituée et dont Le Président est supposé garant. De ceux qu'on a connus, avant, dans cette République, de toutes les couleurs mais s'adaptant au rôle, personne jusqu'ici n'avait remis en cause, même au nom de l'Europe, ce principe fondateur du ciment liant le Peuple avec sa gouvernance. Monsieur Hollande est là, seul de cet acabit qui veut faire citoyen l'étranger qui se plaît dans sa situation au point de ne pas faire, en toute liberté, le choix d'être Français, un premier pas en preuve de sa capacité à exercer un choix, ce qui fait Loi chez Nous pour nous donner un Droit. Et ce Président là n'est pas tombé d'un train , ni de la dernière pluie, qui s'occupe de la paille qui ne lui coûte rien plutôt que de la poutre pour nous toujours plus chère, devrait être passible, en mode moins laxiste, d'une mise en question et de ses qualités et de sa compétence à exercer un rôle où le moins qui est dû est de nous rassembler au lieu de faire régner la bêtise de querelles inutiles, évitables, qu'entraîne l'ineptie de l'orgueil de montrer que l'on a, quelque part, peu ou prou, du pouvoir.

                         

                                                            m-l-s

                                                       michel-la-six 

                   

                     

                                               

                                            

                    

         

 

                      

                                            

                         

                    

                           

                

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18 février 2013 1 18 /02 /février /2013 15:00

    La (sehr-grosse/très-grrrande) Commission Européenne défend l'égalité des sexes. Oui, enfin Elle défend, interdit, que la Femme au volant, qui s'avère plus soucieuse de sécurité que la gent masculine, puisse bénéficier d'un avantage quelconque sur sa prime d'assurance. Elle Nous (les mecs) rassure donc en La ré-assurant. Tout le monde est content et même les assureurs qui vont pouvoir mieux vivre, en attendant qu'on prouve que ceusses aux sexes forts (?) ayant plus d'accidents, il serait équitable, non simple égalité mais souci de justice, qu'un supplément de prime vienne Nous sanctionner pour faire disparaître l'inégale prise en compte de conduites volantaires respectives pas toujours respectueuses.

    Etc, etc ...

    J'avais cru jusqu'ici, assez peu il est vrai, que le coût d'assurance était reflet du risque. Libéré de cette religion, je me sens plus entrain, même mieux disposé envers La Vieille Cinquième (RF) à Laquelle je souhaite peut-être un beau bébé, qu'on nommerait Sixième, Sixième République, puisqu'au temps de Noël la période est propice, souhait que j'accompagne ici de tous mes vœux pour de joyeuses fêtes à Tous (et Toutes).

                                      

                                                         Je sais me bien conduire. 

                                             

                                                                         m-l-s

                                                                   michel-la-six  

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